Si la sacro-sainte ouverture s’apparente souvent à un coup de poker, le début de saison offre l’opportunité de toucher un spécimen : une « bûche », « une mama », une « barre », un « gorille » qu’importe le sobriquet que l’on donne à un beau brochet d’autant que tous les espoirs sont permis. Avec les changements climatiques de plus en plus imprévisibles, le moucheur doit s’adapter, quitte à bousculer ses habitudes. Le jeu se complique mais il en vaut toujours la chandelle !
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