La pêche hivernale du silure est le plus souvent abordée en pêche itinérante à partir d’une embarcation, comme nous vous l’avons présenté au mois de novembre dernier. En parallèle, parier sur une approche du bord en poste fixe peut également rapporter gros, et même très gros, comme le démontre Lilian !
Dans les eaux inférieures à 8°C , voire très froides, en dessous de 4°C, l’activité générale des silures chute drastiquement. Les métabolismes nerveux centraux, nerveux autonomes, et musculaires ralentissent et adoptent des phases d’hivernation. D’un point de vue comportemental, cela se traduit par des phases d’éveil attentionnel plus courtes au profit de somnolences plus longues, un métabolisme digestif très ralenti et des déplacements quotidiens réduits comparativement aux autres périodes de l’année. Pour le pêcheur, ces adaptations du silure aux eaux froides impliquent moins de touches et sur des fenêtres temporelles plus réduites. A priori, ce n’est donc pas le scénario le plus réjouissant pour se lancer à la poursuite de Silurus glanis.
Les gros sont actifs
Il…
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