Lorsqu’on a la chance d’effectuer des plongées en eau douce pour la pêche de la carpe, c’est un peu comme faire du snorkeling en mer, il y a tellement de choses à voir qu’on ne sait plus où donner de la tête. L’un des sujet m’ayant le plus surpris et passionné, que ce soit sur des grands réservoirs ou sur des gravières aux eaux translucides, c’est la présence d’herbiers ; leur densité, leur implantation, et surtout les secrets qu’ils renferment.
Alors bien sûr vu de la surface et muni d’un aquascope il est possible de déterminer les zones d’herbiers, les tâches propres et bien d’autres choses (encore faut-il que les conditions climatiques soient propices et pas trop remuantes), mais une fois sous l’eau l’angle de vue change radicalement passant du vertical, à une vue quasi horizontale et panoramique. La plongée donne la possibilité de se positionner au plus bas de la couche d’eau et d’observer le décor à la façon d’un poisson.
Une fois immergé l’on se rend compte que les herbiers forment d’énormes dunes végétales façonnées par le vent et les courants, dignes d’un paysage lunaire verdoyant. Les herbes sont comme torsadées avec des teintes de couleurs allant du vert foncé…
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant.