En cause notamment, la PKD ou MRP (maladie rénale proliférative, en français). Cette maladie, qui s’attaque aux juvéniles de truites, a été détectée sur l’Ariège et l’Oriège en 2016 et 2017 et a amené la fédération à prendre la décision de réduire le prélèvement à deux farios et huit arcs-en-ciel par jour sur la plus grande partie de son cours. Ailleurs, il est encore possible de prélever 10 truites de 20 centimètres par jour, ce qui ne va pas vraiment dans le sens de la pêche dite « sportive ».
Protection de l'espèce
Il est important de saluer cette décision de la fédération, qui œuvre à la protection de l’espèce, même si un no-kill strict devrait être déclaré sur la fario pour essayer réellement de la préserver sur la rivière Ariège. Suivant les années et les conditions de débit et de température de l’eau (la maladie se déclare avec des températures d’eau à partir de 14/15 degrés, donc en été), une partie des juvéniles meurt. Il y a donc de moins en moins de géniteurs, beaucoup de beaux p
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?