Il y a de quoi perdre son latin devant l’avalanche de modèles de nymphes existants, tous plus attractifs les uns que les autres ! Enfin, pour les pêcheurs, pas toujours pour les poissons… Alors l’idée m’est venue de rassembler les nymphes avec lesquelles je prends le plus d’ombres communs, afin de vous les présenter !
Avec elles, je bourlingue en toutes saisons partout en Europe et en France, avec pour objectif la capture de ce poisson, Thymallus thymallus, que j’ai tenu au bout de ma canne pour la première fois en 1975 et pêché en nymphe dès 1976. Depuis cet ancien temps, la pratique de la pêche en nymphe et du montage de celle-ci a beaucoup évolué, passant des imitations minimalistes de Pheasant tail ou Killer Bug de Mr. Sawyer, aux montages actuels bariolés à coups de vernis UV. Passionné de montage de mouche depuis mes débuts de moucheur, j’ai suivi depuis 45 ans l’évolution, en France comme à l’étranger, des techniques, matériaux et astuces, qui nous mènent où nous en sommes avec des centaines de modèles, des plus classiques au plus « bling-bling ».
Les valeurs sûres
Cette profusion d’imitations, pouvant être parfois de conception très pointue, provoque un éblouissement perturbateur chez de nombreux pêcheurs…
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