Avec l’été, la pêche au streamer joue son va-tout. Dans certaines conditions, elle semble remporter un petit avantage sur les autres techniques. L’occasion d’aller chercher notre carnassier sur ses lieux de villégiature avec des approches qui offrent une dimension unique : la pêche en surface. Adrénaline assurée.
Une idée communément admise : les mois d’été ne sont pas les plus fastes pour la recherche de nos carnassiers, brochet en tête. Avec l’augmentation des températures, le niveau d’ensoleillement, notre prédateur plongerait dans une sorte de torpeur estivale, tout juste serait-il enclin à s’envoyer un sushi d’ablettes en guise d’apéritif en se prélassant sous sa feuille de nénuphar. Certes, les périodes de fortes chaleurs, voire de sécheresse, auxquelles nous sommes de plus en plus exposés, ne rendent pas sa traque productive si on ne change pas nos habitudes. Mais une chose est sûre, le brochet, comme d’ailleurs le triumvirat de nos rivières – perche, sandre, silure –, continue à s’alimenter, d’autant plus que la température de l’eau favorise l’activité des sucs gastriques, donc leur mode de digestion. CQFD !
Fini la grosse artillerie
Pour réussir, comme à chaque nouvelle saison,…
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