Véritable opportuniste, le chevesne se nourrit dans toute la couche d’eau. Nous avons donc de bonnes chances de capture, en sèche comme en nymphe. Cependant, à la période estivale, sa pêche en sèche à vue reste la plus ludique et la plus excitante !
Partie 1 : Truite, cherchez la fraîcheur
Partie 2 : Le chevesne, un cabot plutôt méfiant
Partie 3 : Le barbeau, un puissant combattant
Partie 4 : Carpe, la force tranquille
Vous pourrez prendre des chevesnes à la mouche sur pratiquement tous les parcours où il est présent. Pour cela, mettez l’accent sur les limites première et seconde catégorie ou complètement en seconde, en observant les bordures. Vous verrez sans doute ce cyprinidé nonchalant en quête de nourriture sous la surface. Les frondaisons sont aussi des postes où notre partenaire de jeux aime se tenir, le plus compliqué reste à lancer sous celles-ci afin d’atteindre les individus les moins méfiants. C’est un poisson grégaire qui vit en bancs de plusieurs individus, seuls les plus gros sujets s’écartent pour devenir solitaires. Il est alors possible de capturer plusieurs poissons sur le même poste. Il fraie en fin de printemps et doit aussi « recharger ses batteries » à la période estivale.
En sèche
L’opportunisme du chevesne…
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