La liberté d’action et la discrétion du float tube permettent à Cyril Martinez de prospecter les meilleurs postes. Il peigne herbiers et bois morts avec des leurres complémentaires.
Après des mois d’attente, le grand jour de l’ouverture est enfin arrivé. Que vous choisissiez, comme cela m’arrive parfois, de laisser passer la cohue générale ou que vous vous mêliez à la foule, il ne tient qu’à vous de vous élancer à la poursuite des brochets qui hantent régulièrement vos rêves de pêcheur passionné.
Sur les bordures
Pour ma part, le programme est clairement défini et les terrains de jeu déjà identifiés. Et pour cause, le printemps se prête particulièrement à une pêche active extrêmement ludique, que j’aime énormément: la traque des brochets en eau peu profonde. Sortant du frai, les poissons sont toujours présents sur les bordures et s’alimentent copieusement. Pêchant beaucoup en float tube, je privilégie les gravières, étangs et autres petits milieux souvent encombrés. Ces sites sont peu fréquentés par les bateaux et leur forte capacité à couvrir du terrain. On peut ainsi dérouler sa pêche sans pression et se concentrer méticuleusement sur les zones…
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